It does hurt walking on ones head Beating on ones heart Chasing shadows 20.5.21
- Auteur de la publication Par agneau pimenté
- Date de publication
- Catégories Dans Poésie & Prose
It does hurt walking on ones head Beating on ones heart Chasing shadows 20.5.21
Comme un souffle incertainLe feu battant le ventAmène la chaleur dont on ne sait si c’est la dernièreCaresse d’humanité. Les gens dansent autour du feuLe regardent, l’observentComme si ils voudraient s’y jeter. Dans la nuit sombre sansLes lumières artificielles du confort deNos villesNous retrouvons-nous enfin? Je n’ai queJe n’ai quoiDireJe m’en éloigne. Je regarde le […]
Her mind was the storm
Outside,
that we would watch through the kitchen window
Her smell, steamed bergamot
would lick the walls as
the room sprouted the colour of Autumn.
Fumer la nuit Contribue gravement Et à la votre! Bonne santé. Ces messages qui, Parsèment l’ennui quand, Mes yeux se collent pas plus haut que, La où on nait, quoi? Des luttes sans toiles Et des nuits sans toi Restera-t-il? Boire et Avec ta modération. Ces mensonges qui, Mènent à l’intertemps quand, Les DieuEx se […]
Depuis qu’on a mis des femmes sur 3×4
et des hommes dans des caddies,
la fente de la machine reste le seul sourire
Devant les racistes et les sponsors, même la banane s’aplatît.
Je te vois
Je t’observe
Je me vois t’observer
C’est la saison de l’intertemps
et le déroulement d’un bonheur immédiat déjà nostalgique.
Dis-moi si au pied de l’ARCSe trouveUn chaudronAvec l’or jetéDes bateauxPartant de Gorée? Dis-moi si les grenouillesQui sautaientSur les ailesDu papillonEt sur la soie de son coconOnt pu se libérerEt faireEnfintomber la pluie? Ouvrir nosEntraillesEt maintenant Boyo ka pannUne histoire comptéeSur les doigtsD’un poingTendu vers le ciel. Outre la mer,Les coloniesDans une barqueSans commandantNi chefL’ambiance […]
La tragédie de ton spectacle est que tu sois, l’acteur principal et celui qui tire les rideaux pour refermer ce divertissement. Sans péripeties pourtant, la vie est si inintéressante. Cette liberté, tu l’as gagnée au prix d’une défaite contre l’envie, d’un lendemain. On vit en vain, nous, enfants terribles mais divins. Adieu Ami.